Au début était le Secours Catholique qui, avec l’aide du Crédit coopératif” a mis au point un système de micro-crédit personnel pour aider plus particulièrement les jeunes à retrouver du travail avec une mobylette. Ce micro-crédit peut aussi maintenant concerner le logement (ci dessus) et plusieurs autres établissements financiers s’y sont lancés (Caisses d’épargne, Banque Postale)

Mais pour passer de l’aide aux personnes à l’aide aux projetsde développement économique plus ambitieux, portés par des associations ou même des entreprises, il faut faire appel à l’Investissement Solidaire, (Social Business pour reprendre l’expression anglaise).

Dans ce cas, les associations doivent se regrouper car les projets retenus sont rarement inférieurs à 100 000 €. C’est dans ce cadre qu’intervient le CCFD et son bras séculier, Finansol, et plus récemment le Crédit Agricole qui vient de lancer une fondation avec la Grameen Bank, crée par le Dr Younous au Bangladesh pour lancer le micro-crédit il y a plusieurs dizaines d’années. Beaucoup de ces projets sont hors de France.

D’autres fondations apparaissent aussi et elles font l’objet d’une reconnaissance fiscale au même titre que les dons aux oeuvres classiques

Ces papiers sont encore à creuser